La vie est sacrée,
Même à Aphrodite
Qui mène la danse,
Aux jeux d’un amour née.
Si parfois le paradis terrestre,
T’abandonne et te laisse seul,
Pleure des larmes d’abondance,
Comme un enfant triste et seul.
Et si le vent frivole, fredonne
Dans ton cœur las, une musique
Qui galope tel un bel alezan
Dans le ciel où brule un soleil ardant,
Murmure une prière au monde indifférent,
Aussi joyeuse qu’une pluie de printemps.
Et que ton cœur qui naguère, pleurait,
Devienne aussi lumineux qu’un jour d’été.