Je ne veux plus me débattre inutilement
Dans ce piège à con stérile, bien évidement.
Vous êtes des machines à faire du chiffre.
Seule toute ma conscience me fait honnête.
Et dans cette marée noire où l’homme tombe,
Je vous laisse, ainsi m’enterrer outre-tombe.
Car votre outrecuidance sans conscience,
Vous emporte dans un enfer invisible.
Dans le silence de mon âme paisible
Où parait une lumière éphémère,
Je laisse le ciel à votre arrogance,
Certain que ses anges veillent sur mon âme.
Et ma santé mentale ô combien fragile,
Qui n’affecte tristement que vos tiroirs-caisses,
Se nourrira, tranquille de la paix du ciel
Pour retrouver son équilibre substantiel.