Je décide de faire un pas vers la lumière céleste.
Les méandres tortueux de mon âme égarée, et seule,
Mettent à profit, l’homme chargé de vice.
Car ma faiblesse apparente, attire sa convoitise.
Méchanceté et jalousie se querellent
Pour abattre ma tendre lumière.
Même si un homme s’agite pour me faire signe,
Souvent ses intentions m’apparaissent obscures.
Au fond de moi baigne une lumière
Qui aveugle bien des Ames égarées,
Promptes a tué méchamment l’homme,
Qui s’évertue à cueillir les fruits du passé.
Le nectar de l’enfance où l’innocence
Nullement ne s’égare dans un mensonge,
Pour faire face et triompher sereine,
A la moindre menace du monde.
Ce n’est qu’après les illusions perdues,
Que l’homme façonne son idéal obtus,
En agitant brutalement ses victoires naturelles
Comme autant de drapeaux, synonymes de gloire éternelle.
Ils n’usent que par ruse ces belles images
Pour satisfaire leur entourage avide,
De héros sympathiques au cœur vide,
Brillant dans les flammes de la réussite.
Ils composent une armure de pacotille,
Pour séduire les filles de la ville,
Ardentes futures épouses dont le désir docile,
Demeure dans le plaisir de jouir d’une image,
Où chacun à sa fenêtre s’admire dans l’autre,
Créant une pantomime et des jeux de pouvoir,
Où chacun croit être l’élu de la victoire.
Ainsi va la vanité et l’orgueil du monde