Bienheureux, je me détache de cette gangue,
Oh ! combien sirupeuse et dévastatrice
De bien des malheurs, attristants lourdement mon cœur.
Car tous les démons intérieurs et les grandes peurs,
Qui hantent chaque homme dans sa longue vie,
Se heurtent à ma porte close, aujourd’hui.
Car je ne leur laisse plus cette faiblesse,
De faire que en mon cœur, ils ne me blesse.
Et si pourtant, malgré tout, leur rage insiste,
Afin que mon âme succombe à leur vindicte.
Je donne pouvoir à ma conscience sereine,
Pour endiguer le venin de ces infortunes.
Alors le crachin mortel du diable en l’homme,
Se dissout dans les larmes de son âme triste.
Et le grand chagrin qui jadis brûlait mon âme,
Perd de sa hauteur, troublé par ma paix sereine.
De bien des malheurs, attristants lourdement mon cœur.
Car tous les démons intérieurs et les grandes peurs,
Qui hantent chaque homme dans sa longue vie,
Se heurtent à ma porte close, aujourd’hui.
Car je ne leur laisse plus cette faiblesse,
De faire que en mon cœur, ils ne me blesse.
Et si pourtant, malgré tout, leur rage insiste,
Afin que mon âme succombe à leur vindicte.
Je donne pouvoir à ma conscience sereine,
Pour endiguer le venin de ces infortunes.
Alors le crachin mortel du diable en l’homme,
Se dissout dans les larmes de son âme triste.
Et le grand chagrin qui jadis brûlait mon âme,
Perd de sa hauteur, troublé par ma paix sereine.