Que vaut une vie lorsque l’amour s’est enfui.
Car la brûlure de l’enfer, meurtri et détruit,
Un cœur qui s’époumone dans la nuit
Et que la clarté du jour jamais n’éblouie.
Alors tombent les secondes dans la tombe,
Qui égrènent le beau temps s’enfuyant heureux,
Au souvenir amoureux de la joconde,
Lui préférant son large sourire joyeux.
Et l’homme passe en fumant un cigare,
Qui parfume et sème son odeur âcre,
Votre cercueil avant sa mise en terre,
Vestige d’un cœur, dont le joli sourire,
Autrefois, aguillait tranquille en eau vive.
Et majestueux et serein, malgré tous les requins,
Le regard sur l’horizon d’un avenir certain,
Maintenait son cap, là où l’azur étincelle.