La nuit, lorsque ma camisole s’envole.
Je crois apercevoir dans l’ombre de mon cœur,
Le nectar de la vie, tel un miel sucré,
Déposé sur mes plaies, son baume tendre.
Alors que mon sourire qui à tire d’aile,
Avait déserté l’espace jolie de mon cœur,
Timide, s’invite dans mon regard apeuré.
Et c’est là qu’une larme sèche s’évapore.
Alors Aphrodite qui m’avait oublié,
Murmure sous l’écorce de mon armure,
Une litanie suave, promesse radieuse,
Pour peuplée mon âme, solidaire de damné,
Sollicitant alors le réveil de mon cœur,
Pour que sournoisement tombe le grand malheur,
Dedans la chausse-trappe des malédictions
Avec l’accord majeur de ma bénédiction.